@article{oai:serve.repo.nii.ac.jp:00000097, author = {鹿瀬, 颯枝}, issue = {第2号}, journal = {聖学院大学論叢, The Journal of Seigakuin University}, month = {Jan}, note = {La problèmatique du théâtre français actuel s’ oppose-t-elle au plaisir du spectateur? Cet été ’94, un phènomène théâtral a eu lieu à Paris. Une jeune troupe peu connue y remportait un grand succès en montant une petite pièce d’ Alfred de Musset, son premier vrai proverbe de salon. 《Un caprice》, tandis qu’ on montait des pièces thémathiques à Avignon où tous les spécialistes du théâtre étaient réunis et parlaient ardemment des 《Pièces de guerre》 d’ Edward Bond à 《Susano》 (《L’ Enfanq de la lune》) de Hiroshi Teshigawara. Tout en sachant que le Festival d’ Avignon se déroulait cet été dans le même temps, le Théâtre du Lucernaire a osé présenter un proverbe de salon “d’ hiver” à Paris pourtant vide en cette pèriode de vacances. Ainsi, les jeunes comédiens du Chène-Chenu, dirigés par Jacques Connort (le jeune metteur en scène), sont au Lucernaire depuis le 15 juin ’94 et donnent même encore des représentations cet automne. Nous allons, par conséquent, essayer d’ analyser dans cet article ce phénomène théâtral de l’ été ’94.}, pages = {35--46}, title = {現代フランス演劇試論(1) : 1994年夏の異変―ミュッセ作『気まぐれ』《Un caprice》の場合}, volume = {第7巻}, year = {1995}, yomi = {カノセ, サツエ} }